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L'emploi est mort, vive le travail !: Entretien avec Ariel Kyrou, by Bernard Stiegler
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Détails sur le produit
Poche: 120 pages
Editeur : Fayard/Mille et une nuits (20 mai 2015)
Collection : Les Petits Libres
Langue : Français
ISBN-10: 2755507462
ISBN-13: 978-2755507461
Dimensions du produit:
10,5 x 1 x 15 cm
Moyenne des commentaires client :
3.8 étoiles sur 5
10 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
72.073 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Ce petit livre est un manifeste qui adresse la problématique de la redistribution juste et équitable des gains de productivité dans un monde proche (y sommes-nous déjà ?) dans lequel l’emploi salarié n’existe plus et où il est remplacé par des robots. En complément, il apporte des pistes concrètes de transformations à mettre en oeuvre.Stiegler pose que le travail, qu’il illustre par l’activité première d’un artisan ou d’un artiste, tend à disparaître d’ici 20 ans. Il appelle la prolétarisation cet état de fait et illustre sa pensée avec l’exemple d’Alan Greenspan, Président de la FED de 1987 à 2006, qui a expliqué au Congrès américain à propos de la crise des subprimes qu’il n’a rien vu venir parce que le système bancaire était piloté par des machines automatisées et qu’il ne pouvait donc pas prévenir le désastre de septembre 2006 que l’on connaît.Greenspan percevait alors un “salaire†de quelques millions de dollars mais était ainsi dépossédé de savoir. Il avait donc perdu son travail bien qu’ayant encore un emploi très bien rémunéré. Prolétarisé, il était devenu un automate mécanique qui n’apprenait plus rien, dépossédé de son savoir et de sa nature humaine dans sa fonction d’alors.Stiegler définit l’emploi comme une activité sanctionnée par un salaire, qui, depuis Ford, Roosevelt et Keynes notamment, permet de la redistribution à grande échelle du pouvoir d’achat rendu possible par la spécialisation du travail à la chaîne et l’accroissement de la productivité. Les ouvriers, de simples producteurs d’alors, pouvaient donc maintenant être des consommateurs, selon la formule bien connue de Ford “Je veux que chacun de mes salariés puisse s’acheter une voitureâ€. Dans cet exemple, le pouvoir d’achat est réel, à l’inverse de celui créé artificiellement au moment de la crise de subprimes, qui lui, était totalement artificiel et illusoire, puisqu’il avait consisté à glisser sous le tapis toute la poussière d’un système malade jusqu’à ce qu’un coup de vent ne soulève le tapis et la poussière avec.Par opposition à l’emploi, Stiegler considère que le travail est ce par quoi on cultive un savoir. Travailler c’est exprimer un savoir. Cultiver un jardin est à la fois un travail et un savoir. Quand je le cultive, j’apprends sur le monde vivant végétal et je peux partager en cela avec les jardiniers et les botanistes. Si j’écris des livres ou si je participe à Wikipedia, ce n’est pas d’abord pour obtenir un salaire, mais pour me construire et m’épanouir. Le travail est ce qui était appelé autrefois “l’ouvrageâ€, mot dans lequel on entend “ouvrir†/ “ouvrer†qui veut dire opérer.Selon Stiegler, seules quelques personnes continuent à travailler dans notre société : les artisans, les artistes, les universitaires et certains médecins ou encore les contributeurs à des projets de développement de logiciels libres. Selon lui, et avec d’autres (Bill Gates, …), l’emploi, et donc le salariat, sera marginal d’ici 20 ans, d’ici à ce que l’automatisation par les robots et les algorithmes prenne toute son ampleur. La redistribution du pouvoir d’achat sous forme de salaire, malmenée depuis les années 1970 est donc en passe de disparaître du fait de cet automatisation qui nuit obligatoirement à l’emploi (sinon on ne comprendrait pas en quoi les robots apportent des gains de productivité et pourquoi ils sont par exemple massivement utilisés sur les chaînes de production industrielles et logistiques).Se pose alors la question de l’organisation d’un système économique fondé sur l’automatisation intégrale et généralisée où il faudra remplacer la redistribution des gains de productivité via les salaires par une redistribution fondée sur un travail contributif non salarié. Stiegler propose en réponse de généraliser ce qu’il appelle un “revenu contributif†alloué sur le modèles des droits spécifiques actuels des intermittents du spectacle et qui renforcerait les “externalités positives†(création de valeur non valorisée par un flux financier) alors qu'aujourd’hui, une entreprise crée rarement des externalités positives, puisqu'elle est en général attentive à faire payer les services qu’elle rend. Selon lui, ce “revenu contributif†viendrait compléter le “revenu d’existence†universel mais insuffisant et il permettrait une redistribution socialement juste et économiquement rationnelle. Il met en garde contre la tendance actuelle qu’il appelle “human computing†qui consiste à ce que toutes sortes de gens, dans le monde entier, devant leurs ordinateurs se livrent à des micro tâches répétitives payées une misère (Amazon Mechanical Turk, ..). Stiegler propose également de changer le modèle d’imposition pour passer d’une imposition sur les revenus à une imposition sur les flux financiers et d’encourager la transmission de “valeurs pratiquesâ€, qu’il définit comme “le développement, la circulation et la transmission des savoirsâ€, qu’il oppose à la “valeur d’usageâ€, qui se perd avec le temps et se dilue de façon inflationniste. Il illustre la “valeur d’usage†avec l’exemple des produits jetables ou encore de la semelle de la chaussure dont la qualité se dégrade dans le temps.Ce petit livre est donc un manifeste qui adresse la problématique de la redistribution voulue juste et équitable des gains de productivité dans un monde où l’emploi salarié n’existe plus puisqu’il est remplacé par des robots non-salariés qui prennent la place des individus privés d’emploi et à qui il faut verser un salaire qu’il appelle un “revenu contributifâ€. Ce revenu contributif serait alloué à tout le monde sur une base permettant de vivre décemment, de s’éduquer et de développer des formes de savoir dont la société a besoin de valoriser et qui est un droit “rechargeableâ€, c’est à dire non acquis définitivement, en fonction de l’activité de socialisation individuelle et développées en direction des groupes. Ceci revient ainsi à mettre à profit l’automatisation inéluctable au service d’une renaissance des savoirs permettant à chacun d’apprendre en permanence et de redistribuer cet apprentissage pour le bien des communs.Si le sujet vous intéresse, je vous invite également à lire “Confucius et les automatesâ€. Cet ouvrage de Charles-Édouard Bouée, Président de Roland Berger Strategy Consultants, réalisé en collaboration avec le journaliste François Roche, nous invite à un voyage à travers le 7e continent, le cyberespace, un univers sans frontière et virtuellement infini entre les mains de l’ « Ogre » américain GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) et de la « Chauve-Souris » chinoise BAT (Baidu, Alibaba, Tencent).
Passionnant pour se projeter dans l'avenir à moyen terme... reflexion sur l'activité humaine qui devra passer du simple emploi...progressivement inutile...au veritable travail avec toutes ses dimensions de responsabilité et de créativité.Il ya de quoi intéresser,rêver d'une autre société ,mais etre aussi remis en question,un peu bouleversé dans ses certitudes et ses incertitudes.Livre important !!
Ce livre, encore une fois, traite d'un sujet qui est la numérisation en marche du monde et de des changements induits. C'est une prospective comme tous les ouvrages du genre même s'il contient déjà une partie bilan.C'est à lire, il faut ensuite y réfléchir... J'appartiens à un groupe de lecture et nous avons tous aimé !
un peu déçu du contenu, de plus le livre est vraiment très petit. peu de matière, et pour le peu qu'il y a, une recherche google de devinions aurait suffit...
Il mériterait de prévoir un petit glossaire,... ses concepts sont intéressants mais leur developpement parfois un peu redondant,... à compléter par d'autres lectures...
Intéressant et visionnaire. Rapide à lire. Quelques termes complexes. Je conseille à toutes personnes curieuses de la situation actuelle du marché de l'emploi
Le sujet est d'actualité. L'auteur d'une grande qualité et très pédagogique. Cet ouvrage est donc dans la catégorie "indispensable". Parfait
Voilà un ouvrage très abordable, court et clair qui fera comprendre la nécessité d'un changement souple et radical de société si l'humanité veut survivre à l'antropocène...
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